Source : certains sujets ne sont pas faciles à aborder.
La résistance au changement naît généralement de la conviction que ce changement n’est pas nécessaire. Avez-vous déjà entendu cette phrase ? « Ça fait tellement longtemps que ça fonctionne comme ça, pourquoi faire différemment ? »
Les dirigeant·es doivent réfléchir à la résistance au changement de manière proactive. Les sceptiques ne sont pas forcément opposés au changement, parfois ils ont simplement besoin de plus de temps pour s’y faire. La résistance peut provenir du fait que les équipes n’ont pas eu assez de temps pour assimiler le changement et pour constater que la culture de l’innovation pourrait leur être bénéfique.
Dans d’autres cas, ce n’est pas la résistance des collaborateur·rices qui est en cause, mais la procrastination de la direction. Il est essentiel de s’attaquer à cette procrastination. Celle-ci peut se traduire par l’attente du moment opportun pour entreprendre des initiatives de changement, ou par une attitude visant à éviter les émotions négatives ou les discussions difficiles. Les affaires courantes seront toujours urgentes. Le changement ne peut donc pas être géré sur le même plan que les projets avec des délais serrés.
En effectuant un Check-point de la Culture de l’innovation , nous pouvons vous aider à comprendre d’où vient la résistance au sein de votre organisation.
La méthode Creaholic
Deux fois par année, nous effectuons une enquête Pulse Feedback afin de permettre aux collaborateur·ices de partager ce qui fonctionne bien et ce qui pourrait être amélioré au sein de l’entreprise. Notre équipe utilise ensuite ces feedbacks pour se faire une idée de la culture du lieu de travail, de l’affectation des ressources, de l’esprit d’équipe et des activités des clients. Tout se fait de manière totalement transparente ; ainsi tout le monde peut visualiser les points faibles et contribuer à faire évoluer positivement la culture.